Témoignage | Julie, acheter seule... avec Hestia

Julie, seule face à son projet, mais plus seule pour acheter
Julie a 33 ans, trois enfants et une énergie contagieuse. Elle dirige une structure d’accueil pour enfants autistes, et vit à Bondy, en Seine-Saint-Denis. Depuis toujours, elle sait qu’elle veut une maison. Pas seulement un toit, mais un cadre de vie meilleur pour ses enfants.
J’ai grandi dans une cité, et je voulais autre chose pour mes enfants. Je viens de Dreux, j’ai grandi au contact de la nature. Ici c’est très bétonné. Je voulais qu’ils connaissent la liberté qu’on peut avoir de cueillir des framboises, des cerises...
Mais Julie n’a pas envie de bouleverser la vie de sa famille. Ses enfants sont bien dans leur école, ont leurs repères, leurs copains, leurs activités. Le projet immobilier doit donc se faire... sans rien changer autour.
Mon deuxième fils a des particularités au niveau des émotions, et pour lui c’est très important d’être dans un environnement dans lequel il est à l’aise.
Alors elle cherche à Bondy. Et elle trouve.
"À peine rentrée dans la maison, j’ai dit à l’agent : c’est bon"

Coup de cœur. Pas de contre-visite. Pas d’hésitation.
Julie est fonceuse. Le compromis est signé, les visites sont faites, le notaire est payé. Elle avance, confiante. Elle a même rencontré son banquier, qui lui a confirmé que tout était bon.
Il a dit que le dossier était ok, pour lui on réunissait toutes les conditions pour que notre dossier passe."
Mais au moment de finaliser, tout s’effondre.
La banque m’appelle pour dire qu’ils ne suivaient pas. Qu’ils pensaient que c’était trop fragile du fait que j’achète seule.
Acheter seule : une situation jugée "trop fragile"
C’est souvent là que ça coince. Même avec un bon revenu, même avec un projet solide. Lorsqu’on achète seul, la banque hésite, puisque ça signifie un dossier financier moins solide. Julie en a fait l’expérience avec un refus de prêt qui a tout remis en question.
On a déjà essayé d’acheter pendant un an et demi, et mon dossier n’est pas passé à la banque, avec la même situation que ce que j’ai aujourd’hui, parce que j’achète seule.
Elle mène ce projet sans le soutien financier direct de son conjoint, engagé de son côté dans un autre projet professionnel. Une fragilité perçue par la banque, qui stoppe tout… à la dernière minute.
Je suis tombée de 10 étages. C’était beaucoup de stress. Heureusement que je n’avais pas posé mon préavis.
"Et là je tombe sur Hestia"
En découvrant Hestia, Julie comprend qu’elle peut reprendre la main sur son projet. Elle n’a pas à attendre un hypothétique feu vert bancaire. Elle peut vivre dans sa maison dès maintenant, sans crédit immédiat en passant par la location-accession.
Je me dis : mais ça peut être génial ! On peut faire les deux : le projet professionnel, voyager, et en plus de ça, acheter.
Ce qui l’a convaincue, c’est la flexibilité du parcours, et le fait de pouvoir explorer sans engagement.
Au début j’étais méfiante, mais j’ai décidé de pousser, voir jusqu’où ça pouvait aller, en sachant que ça ne m’engageait pas au début du process.
Un accompagnement qui fait toute la différence
Julie a eu beaucoup de questions. Et elle les a posées. Victor, côté Hestia, a été son point d’ancrage pendant toute la démarche.
Victor il nous a toujours rassuré, il a toujours été très réactif. Il a su me mettre en confiance, bien m’expliquer. Il a été très patient. Il a répondu à toutes mes questions.
Aujourd’hui, elle est dans sa maison. Les travaux de peinture vont commencer, et surtout : elle a pu concrétiser un projet qu’elle porte seule, pour sa famille.
Hestia, ça me facilite grandement la vie.
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