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Crédit en cours & propriétaire : mode d'emploi

Monday
22
April
2024
5
min de lecture
Temps de lecture
5 min

Elise habite en Haute-Savoie dans la zone frontalière entre la Suisse et la France. Une belle région de lacs, avec un cadre de vie dont elle ne peut plus se passer. Son époux Eric prend le bateau chaque matin pour aller travailler côté Suisse. C’est la vie dont ils ont rêvé et qu’ils ont rendu possible pour leurs 3 enfants.

Ils sont déjà propriétaires, mais font de l’investissement locatif dans une autre région (ils louent le bien qui leur appartient). À l’étroit chez eux, ils se sont dit, tiens, et si c’était le moment d’acheter notre nid à nous.

C’est vrai qu’en location avec les 3 enfants, on était à l’étroit, donc on cherchait une solution pour avoir plus grand, sans passer par les banques dans l’immédiat parce que notre dossier n’était pas recevable en l’état.

Eh oui, on a beau avoir déjà emprunté pour un projet immobilier, c’est loin de représenter une garantie qu’on le pourra à nouveau…

Un cumul de situations (normales)

Comme pour beaucoup de nos clients, on s’aperçoit que derrière une situation se cache une multitude de détails, qui additionnés font fuir les banques (très) loin.

Elise est à son compte, est elle auto-entrepreneur et a lancé son activité dans l’immobilier il y a moins de trois ans. Dans le langage de la banque, autant dire que c’est plutôt fichu pour une demande de prêt. Comme pour nos clients Matthieu & Marie-Rose, dont la problématique était leur statut de freelance.

Eric quand à lui a repris une formation pour devenir instrumentaliste au bloc opératoire. Il gagne un petit salaire, incomparable à celui qu’il percevra une fois sa formation finie.

Et la goutte qui fait a fait débordé le vase, ils ont deux crédits automobiles, qui se soldent en 2025.

Moi je n’avais pas 3 bilans comptables, donc les banques étaient plutôt frileuses. Et Éric il a quand même un salaire mensuel, mais plus bas que quand il aura fini ses études. Du coup on ne cochait pas les bonnes cases pour les prêts bancaires. On était justes auprès de notre banque, mais la raison c’était surtout les leasings automobiles.

Quel est le comble pour un agent immobilier ?

Qu’il ne puisse pas acheter lui-même bien sûr !

Elise, en tant qu’indépendante dans le milieu de l’immobilier, a accès à de nombreux contacts bien connectés. Et ça n’a pas suffi.

Elle est passée par deux courtiers, après avoir essayé d’obtenir un crédit en direct avec sa propre banque, en vain. Le constat était généralisé : impossible dans cette situation-là d’obtenir un crédit immobilier, et ce qui bloque avant tout, ce sont ces fameux leasings automobiles.

Deux leasings automobiles de trop

Demander un crédit quand on en a déjà un (ou deux dans cette situation), ça peut bloquer plus d’une banque.

Pour commencer, on ne peut pas dépasser un certain taux d’endettement, fixé à 35% lorsqu’on demande un prêt immobilier. En d’autres mots, on ne peut généralement pas souscrire à un crédit dont les mensualités dépasseraient un tiers de nos revenus nets. La banque compte ainsi limiter un possible surendettement et donc un défaut de crédit de la part de l’emprunteur.

C’est pour cela que la banque est rarement motivée par les dossiers qui présentent des crédits en cours. Logique : plus vous empruntez, plus votre capacité de remboursement (et donc votre endettement) se rétracte, ce qui envoie un mauvais signal. Pour compenser, la banque peut ajuster son taux à la hausse, proportionnellement au risque qu’elle prend en vous prêtant de l’argent.

Plus vous empruntez donc, moins vous pouvez emprunter…

Un leasing pour en solder un autre

Elise est tombée sous le charme du leasing automobile. Alors elle et son mari se sont posés la question : est-ce que ça existe pour le logement ? Et si on pouvait différer sa demande de crédit, sans perdre l’opportunité d’emménager dès demain dans un logement confortable ? Et bingo, elle est tombée sur Hestia.

Le principe, est effectivement très similaire : on habite dans son bien, comme on louerait sa voiture tous les mois, puis on a l’option de le racheter en fin de parcours. À la différence près que les loyers ne sont pas déductibles du prix final. Pas déductibles, mais pas perdus non plus. Chaque mois, c’est une épargne mensuelle et non un loyer qui sont versés à Hestia.

Cette mensualité, elle est établie dans le cadre d’un plan de financement : l’objectif est de vous constituer un apport solide d’ici la demande de crédit. Toutes ces mensualités sont donc réservées pour votre future demande de crédit !

Pour Elise, c’était la situation idéale. En passant par hestia aujourd’hui, elle devra racheter son bien en 2025, année à laquelle : Eric aura fini sa formation, elle aura 3 bilans comptables, et leurs deux crédits automobiles seront soldés !

Différer leur crédit, sans perdre leur bien rêvé, et en épargnant tous les mois, c’était leur règle de trois.

Liberté, fluidité, simplicité

Elise et Eric ont hésité : faudrait-il attendre 2025 pour que leur situation évolue d’elle-même ? Mais en repoussant leur achat, ils prenaient plusieurs risques :

  • continuer à payer un loyer perdu pendant plus d’un an ? Non merci.
  • rester dans un logement exigu avec 3 enfants ? Certainement pas.
  • prendre le risque de perdre ce logement ? Le coup de coeur a été trop fort pour le laisser passer.

En fin de comptes, l’argument de leur confort a primé sur le reste. Et sans perdre leur dernier mot ! Ils restent libres, jusqu’au bout.

Là on est chez nous, et ça n’a pas de prix. On a gagné en espace, en qualité de vie, je vois les enfants qui adorent, donc toutes les autres considérations passent en second plan.

Elle nous partage que ce qu’elle a préféré et qui a fait penché la balance dans son hésitation,  c’était la simplicité et la fluidité du processus d’achat.

Notre meilleure ambassadrice ?

Le meilleur compliment que l’on peut recevoir d’un client, c’est qu’il parle de nous autour de soi et se fasse ambassadeur de notre solution, en toute autonomie ! Elise nous a déjà envoyé les contacts de deux clientes qui ont un blocage financier… Que dire de plus.

A tous ceux qui hésiteraient à passer par la solution, elle a répondu :

Il ne faut pas hésiter, même si on achète le bien un petit peu plus cher que prévu, parce que ça nous fait gagner en qualité de vie, et que le process il est hyper simple.

Une vidéo vaut 1000 images

France 2 s'intéressait à notre solution, ils ont alors demandé à Elise de partager son témoignage ! Découvrez son histoire en images

Elise habite en Haute-Savoie dans la zone frontalière entre la Suisse et la France. Une belle région de lacs, avec un cadre de vie dont elle ne peut plus se passer. Son époux Eric prend le bateau chaque matin pour aller travailler côté Suisse. C’est la vie dont ils ont rêvé et qu’ils ont rendu possible pour leurs 3 enfants.

Ils sont déjà propriétaires, mais font de l’investissement locatif dans une autre région (ils louent le bien qui leur appartient). À l’étroit chez eux, ils se sont dit, tiens, et si c’était le moment d’acheter notre nid à nous.

C’est vrai qu’en location avec les 3 enfants, on était à l’étroit, donc on cherchait une solution pour avoir plus grand, sans passer par les banques dans l’immédiat parce que notre dossier n’était pas recevable en l’état.

Eh oui, on a beau avoir déjà emprunté pour un projet immobilier, c’est loin de représenter une garantie qu’on le pourra à nouveau…

Un cumul de situations (normales)

Comme pour beaucoup de nos clients, on s’aperçoit que derrière une situation se cache une multitude de détails, qui additionnés font fuir les banques (très) loin.

Elise est à son compte, est elle auto-entrepreneur et a lancé son activité dans l’immobilier il y a moins de trois ans. Dans le langage de la banque, autant dire que c’est plutôt fichu pour une demande de prêt. Comme pour nos clients Matthieu & Marie-Rose, dont la problématique était leur statut de freelance.

Eric quand à lui a repris une formation pour devenir instrumentaliste au bloc opératoire. Il gagne un petit salaire, incomparable à celui qu’il percevra une fois sa formation finie.

Et la goutte qui fait a fait débordé le vase, ils ont deux crédits automobiles, qui se soldent en 2025.

Moi je n’avais pas 3 bilans comptables, donc les banques étaient plutôt frileuses. Et Éric il a quand même un salaire mensuel, mais plus bas que quand il aura fini ses études. Du coup on ne cochait pas les bonnes cases pour les prêts bancaires. On était justes auprès de notre banque, mais la raison c’était surtout les leasings automobiles.

Quel est le comble pour un agent immobilier ?

Qu’il ne puisse pas acheter lui-même bien sûr !

Elise, en tant qu’indépendante dans le milieu de l’immobilier, a accès à de nombreux contacts bien connectés. Et ça n’a pas suffi.

Elle est passée par deux courtiers, après avoir essayé d’obtenir un crédit en direct avec sa propre banque, en vain. Le constat était généralisé : impossible dans cette situation-là d’obtenir un crédit immobilier, et ce qui bloque avant tout, ce sont ces fameux leasings automobiles.

Deux leasings automobiles de trop

Demander un crédit quand on en a déjà un (ou deux dans cette situation), ça peut bloquer plus d’une banque.

Pour commencer, on ne peut pas dépasser un certain taux d’endettement, fixé à 35% lorsqu’on demande un prêt immobilier. En d’autres mots, on ne peut généralement pas souscrire à un crédit dont les mensualités dépasseraient un tiers de nos revenus nets. La banque compte ainsi limiter un possible surendettement et donc un défaut de crédit de la part de l’emprunteur.

C’est pour cela que la banque est rarement motivée par les dossiers qui présentent des crédits en cours. Logique : plus vous empruntez, plus votre capacité de remboursement (et donc votre endettement) se rétracte, ce qui envoie un mauvais signal. Pour compenser, la banque peut ajuster son taux à la hausse, proportionnellement au risque qu’elle prend en vous prêtant de l’argent.

Plus vous empruntez donc, moins vous pouvez emprunter…

Un leasing pour en solder un autre

Elise est tombée sous le charme du leasing automobile. Alors elle et son mari se sont posés la question : est-ce que ça existe pour le logement ? Et si on pouvait différer sa demande de crédit, sans perdre l’opportunité d’emménager dès demain dans un logement confortable ? Et bingo, elle est tombée sur Hestia.

Le principe, est effectivement très similaire : on habite dans son bien, comme on louerait sa voiture tous les mois, puis on a l’option de le racheter en fin de parcours. À la différence près que les loyers ne sont pas déductibles du prix final. Pas déductibles, mais pas perdus non plus. Chaque mois, c’est une épargne mensuelle et non un loyer qui sont versés à Hestia.

Cette mensualité, elle est établie dans le cadre d’un plan de financement : l’objectif est de vous constituer un apport solide d’ici la demande de crédit. Toutes ces mensualités sont donc réservées pour votre future demande de crédit !

Pour Elise, c’était la situation idéale. En passant par hestia aujourd’hui, elle devra racheter son bien en 2025, année à laquelle : Eric aura fini sa formation, elle aura 3 bilans comptables, et leurs deux crédits automobiles seront soldés !

Différer leur crédit, sans perdre leur bien rêvé, et en épargnant tous les mois, c’était leur règle de trois.

Liberté, fluidité, simplicité

Elise et Eric ont hésité : faudrait-il attendre 2025 pour que leur situation évolue d’elle-même ? Mais en repoussant leur achat, ils prenaient plusieurs risques :

  • continuer à payer un loyer perdu pendant plus d’un an ? Non merci.
  • rester dans un logement exigu avec 3 enfants ? Certainement pas.
  • prendre le risque de perdre ce logement ? Le coup de coeur a été trop fort pour le laisser passer.

En fin de comptes, l’argument de leur confort a primé sur le reste. Et sans perdre leur dernier mot ! Ils restent libres, jusqu’au bout.

Là on est chez nous, et ça n’a pas de prix. On a gagné en espace, en qualité de vie, je vois les enfants qui adorent, donc toutes les autres considérations passent en second plan.

Elle nous partage que ce qu’elle a préféré et qui a fait penché la balance dans son hésitation,  c’était la simplicité et la fluidité du processus d’achat.

Notre meilleure ambassadrice ?

Le meilleur compliment que l’on peut recevoir d’un client, c’est qu’il parle de nous autour de soi et se fasse ambassadeur de notre solution, en toute autonomie ! Elise nous a déjà envoyé les contacts de deux clientes qui ont un blocage financier… Que dire de plus.

A tous ceux qui hésiteraient à passer par la solution, elle a répondu :

Il ne faut pas hésiter, même si on achète le bien un petit peu plus cher que prévu, parce que ça nous fait gagner en qualité de vie, et que le process il est hyper simple.

Une vidéo vaut 1000 images

France 2 s'intéressait à notre solution, ils ont alors demandé à Elise de partager son témoignage ! Découvrez son histoire en images

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